• La médecine est un métier dangereux. Les clients qui ne meurent pas peuvent porter plainte.

    Coluche


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  • Ensemble contre le cancer rose bonbon ,

    pour adoucir le choc .C'est rose, c'est doux .

    Un cancer c'est rose ?

    Et bleu pour les hommes ? Ah oui la prostate .

    Tout çà pour faire la guerre .

    Ma créativité je la développe sans avoir besoin de propagander "une  mal-a-dit"

    ci-joint la vidéo de Thierry Casasnovas qui résume très bien la question du diagnostic-pronostic ...


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  • Roooooor un peu d'humour ...à la suite lire le livret 7 "La Santé " de Personocratia pour accueillir "la mal-a-dit " différemment : la réparation d'un conflit intérieur .

    C'est grave Docteur ?

     

    C'est grave ?


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  • Hippocrate

    Hippocrate

    L’article ci-dessous publié par une revue médicale en ligne, revue qui manifestement, n’hésite pas à mettre le doigt là ou ça fait mal. Dans le jargon médical dont j’espère vous apprécierez l’humour, quand le praticien touche du bout du doigt un zone douloureuse liée à un traumatisme on la désigne sous le nom de « douleur exquise »…..

    On apprend qu’en étudiant 30 000 dossiers de malades hospitalisés en cardiologie, pour infarctus, insuffisance cardiaque, ou arrêt cardiaque, une équipe de chercheurs des Etats Unis, s’est aperçu que la mortalité dans ce groupe de malades était significativement moindre durant la période de congrès de cardiologie auxquels les spécialistes se rendaient et étaient donc absent de leur service. Moins de morts dans les services de cardiologie quand les cardiologues sont absents !

    Une étude a été publiée, il y a plusieurs années durant une grève des médecins et avait conclu à un phénomène identique. La possibilité de faire ce type d’analyse est ouverte avec la récente grève des médecins en France.

    Il est clair que ce genre de situation, souligne dramatiquement combien fonctionement des hôpitaux, la formation des médecins, les conceptions médicales dominantes, j’ajouterais le mépris  stupide pour les médecines dites différentes, affiché par une grande partie du corps médical et des autorités, doivent être interrogé  pour ce type de catastrophe ne se reproduise pas.

    À propos des médecines dites différentes, il serait extrêmement simple de mettre en place des études permettant d ‘évaluer leur impact. Des tentatives pour réaliser ce genre de travail ont été faite au plus haut niveau de l’Etat, en France et ont subit des attaques aussi stupides qu’ignobles de la part  de lobbys qu’il convient de désigner clairement. Je vais rédiger des articles sur cette question qui nous concerne tous.

    Docteur jacques Lacaze

    ***

    Le résultat de cette étude interpelle. Publiée dans la revue « The archives of Internal Medecine », elle démontre que les patients hospitalisés pour un problème cardiaque sont plus nombreux à survivre  lorsque les cardiologues sont partis en congrès et donc absents.

    Fréquemment les médecins se rendent dans des congrès professionnels pour approfondir et mettre à jour leur savoir médical. Ces absences qui peuvent être nombreuses et multiples au sein d’un service hospitalier, pourraient avoir des conséquences du fait de la charge de travail abandonnée à quelques malchanceux contraints de s’occuper de tout le service en l’absence des autres médecins. On pouvait donc imaginer que ces absences auraient une répercussion négative sur le bien être des patients hospitalisés. Ce n’est en fait pas si simple.

    Des scientifiques de la Harvard Medical School (Boston, Massachusetts) ont mené une étude rétrospective afin de déterminer quelles étaient les conséquences de l’absence des médecins. Ils ont repris les 30 000 derniers dossiers des patients hospitalisés pour infarctus, insuffisance cardiaque, ou arrêt cardiaque alors qu’aux mêmes dates avaient lieu un congrès important de cardiologie, et comparé la survie de ces patients avec celle de 79 000 patients hospitalisés pour les mêmes causes mais en dehors des dates de congrès de cardiologie (3 semaines avant ou après les congrès).

    En dehors des dates de congrès, 24,8% des insuffisants cardiaques et 69,4% des arrêts cardiaques décédaient dans les 30 jours qui suivaient l’hospitalisation. En revanche, au cours des dates de congrès donc en l’absence des cardiologues, «seulement» 17.5% des insuffisants cardiaques et 59.1% des arrêt cardiaques décédaient dans les 30 jours suivant l’hospitalisation, un chiffre certes considérables mais significativement inférieurs (P < .001) : donc, lorsque les cardiologues sont en congrès, les patients meurent bien moins que lorsqu’ils sont présents et pratiquent les gestes qu’ils croient être les meilleurs.  Par exemples, les interventions coronaires percutanées consistants à ouvrir les artères obstruées avec des stents sont bien moins pratiquées quand les cardiologues sont en congrès (PCI : 20.8% vs 28.2%, P=0.02) sans aucune conséquences pour les malades pour qui il n’y a aucune différence au final en terme de survie.

    Si il existe une différence notable pour la survie des patients en fonction de la présence ou de l’absence des cardiologues, aucun résultat similaire n’était retrouvé pour les oncologues, les gastro-entérologues ou les orthopédistes (survie après traitement pour fracture de hanche).

    Comment expliquer cet effet délétère des médecins sur la survie des patients? Les auteurs de l’étude évoquent les pratiques invasives agressives pas toujours nécessaires et qui souvent n’apportent pas d’augmentation de la survie. En les multipliant, l’effet inverse devient significatif.

     

    Source - Mortality and Treatment Patterns Among Patients Hospitalized With Acute Cardiovascular Conditions During Dates of National Cardiology Meetings Anupam B. Jena, Vinay Prasad, Dana P. Goldman, John Romley - JAMA Intern Med. Published online December 22, 2014

    http://www.jacques-lacaze.com/article-l-hopital-lieu-de-vie-ou-de-mort-125317129.html

     


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  • La Santé Illimitée pour toutes !

    Conférences de Ghis Année 2014

    et un coup de gueule , 1 !

    ici il est question des lois et la maladie ...à quoi ou à qui sert la médecine ?

    On n'est jamais obligé de rien ...sauf si on a peur de perdre quelque chose ou quelqu'un ...

    Alors je suis complice ou je m'accomplis ?

     

    Les liens des vidéos sur le même thème

     
       

    Personocratia reçoit - 01 juin 2014
    Agrandir image

    Personocratia reçoit - 01 juin 2014

    Les traitements efficaces interdits
    Tout traitement favorable à la santé, quel qu'il soit, est interdit et son inventeur persécuté. Or, c'est le malade qui a le pouvoir financier sur sa santé. Comment en faire usage ?

    Durée : 2:33:07

    Visionnez un extrait  :

    https://youtu.be/o7tlmIfWmBo


    Personocratia reçoit - 07 septembre 2014
    Agrandir image

    Personocratia reçoit - 07 septembre 2014

    La médecine nouvelle de Hamer
    Un incontournable dans la compréhension de la santé. Après avoir établi la crédibilité du médecin inventeur ostracisé, Ghis expose sa théorie biologique et la thérapie qui en découle. Elle termine avec la question suivante : et si nous n'étions plus des animaux ?
        

    Durée : 2:23:19

    Visionnez un extrait :



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  • un road-movie différent ...


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  • Les résultats de la seule enquête indépendante menée depuis 2001 par une journaliste scientifique…

         

    Les jeunes et le portable : Alzheimer à 35 ans ?

    Ce livre audio s’adresse aux jeunes de 11 à 25 ans et à leurs parents et grands-parents. Son écoute est suivie d’effet : le changement des habitudes d’usage du portable par les jeunes, à bref ou moyen terme. Il circule beaucoup dans le réseau des amis, camarades de classe, cousins, cousines. Tous les jeunes de votre famille et leurs amis sont protégés !

     

    Ils en raffolent. Dorment avec lui, mangent avec lui. N’imaginent pas de vivre sans lui. 90 % des jeunes de 20 ans ne l’éteignent jamais, même la nuit. 6,3 % des 8-10 ans sont équipés, un pourcentage qui passe à près de 25 % chez les 10-13 ans, pour qui il est "devenu indispensable". Entre 2 et 7 ans, 35 000 enfants en possèdent. Quels seront les effets nocifs du téléphone portable sur leur cerveau et leur santé ? Relayant les premières alertes des scientifiques, ce livre audio s’adresse aux parents responsables qui y trouveront de (très) bonnes raisons demettre en pratique le principe de précaution.

    Auteure : Journaliste d’investigation scientifique, Annie Lobé enquête depuis 2001 sur la téléphonie mobile. Ses articles ont été publiés dans Sciences et Avenir,Notre TempsQuestions de femmesLe GénéralisteVillage MagazineNexus,Monsieur et Tribune Santé.

    Ce que vous trouverez dans ce livre audio :

    • Les effets scientifiquement prouvés des portables sur le jeune cerveau etles mécanismes de la dépendance liée à l’usage par les jeunes.

    • Les plus récentes découvertes sur le développement du cerveau à l’adolescence.

    • Les raisons pour lesquelles opérateurs et constructeurs de téléphonie mobile sont incapables de trouver une assurance en responsabilité civile couvrant l’émission des champs électromagnétiques.

    • Des conseils pratiques présentés de telle sorte qu’ils sont effectivement suivis par les auditeurs et auditrices, y compris par les jeunes. 

    Pourquoi ce livre audio :

    Il concerne les enfants et les jeunes de 0 à 25 ans.

    C’est le seul livre enregistré pour aider les parents d’adolescents “accros” au portable.

    Préfacé par le Dr Geneviève Barbier, ce livre audio est facile à comprendre, y compris pour les adolescents. Il s’écoute vite et facilement (à partir de 11 ans).

    Il constitue une base de discussion pour les familles au sein desquelles des enfants,des adolescents ou des jeunes jusqu’à 25 ans possèdent un portable ou veulent en avoir un.

    Les auditeurs y prendront connaissance d’une étude menée en Suède en 2003, mais restée inconnue du public. Elle a démontré qu’une exposition de deux heures à despuissances 10 à 100 fois inférieures aux valeurs limites autorisées pour nos téléphones portables suffit à provoquer d’importants dommages sur des cellules neuronales de rats vivants, à l’âge de l’adolescence.

    Le cas du cerveau en développement mérite une attention spéciale de la part dela société car les processus de maturation en biologie sont particulièrement vulnérables,” commente Leif Salford, le chercheur de l’université de Lund qui a conduit cette expérience dont la conclusion est particulièrement inquiétante : le déclenchement possible de maladies neurologiques “après quelques décennies d’usage quotidien, pour toute une génération d’utilisateurs”.

    S’informer dès maintenant permet de protéger ses enfants pendant qu’il en est encore temps et même s’ils utilisent “très peu” le téléphone portable. Sa simple détention suffit en effet à provoquer des dégâts : dès lors qu’il est en veille, il émet en permanence des micro-ondes pulsées. (Voir le clip vidéo "Le portable dans la poche").

    Le livre audio contient, en plus des conseils pratiques faciles à mettre en œuvre pour limiter les dégâts, une liste d’appareils à éviter.

    Une écoute indispensable !

    Préface du Dr Geneviève Barbier

    Coauteur avec Armand Farrachi de La Société cancérigène, Éditions de La Martinière, 2004.

    La grande majorité des 15-25 ans utilise un téléphone portable et les parents doivent s’incliner devant ce phénomène de société, sous peine de passer pour desringards, des marginaux ou des tyrans.

    Et pourtant, que savons-nous des effets de la téléphonie mobile sur la santé ?

    Depuis juin 2005, l’Agence française de sécurité sanitaire environnementale demande aux opérateurs de téléphonie mobile de ne pas cibler les enfants dans leurs campagnes de promotion, “compte tenu des incertitudes qui demeurent”, etde renoncer provisoirement à la fabrication et à la distribution de téléphones portables destinés aux jeunes enfants.

    Est-ce justifié ? Est-ce suffisant ?

    Nous manquons cruellement de repères fiables sur les questions environnementales. Les agences officielles ont trop souvent cédé à la tentation derassurer la population : chacun se souvient de l’attitude des pouvoirs publics français lors de la catastrophe de Tchernobyl, qui fait encore de nous la risée despays européens.

    Ce contexte justifie le rôle irremplaçable des associations et des particuliers dans le débat sur les questions de santé.

    Journaliste scientifique, Annie Lobé nous livre les premières conclusions d’une longue enquête. Elle aborde dans un style simple et rigoureux l’impact destéléphones portables sur la santé de nos enfants et donne des pistes concrètes avec humour et bon sens.

    Face à des groupes d’intérêts puissants et organisés, ce travail témoigne de tout le courage de son auteur, qui n’a pas dû se faire que des amis, et qu’il faut saluer.

    L’avis de Sylvia Santini :

    “J’ai été très émue en écoutant ce livre. Vous avez su parler aux parents et aux jeunes des dangers sournois de cette nouvelle technologie. Après avoir entendu votre ouvrage, je suis persuadée que beaucoup d’utilisateurs de portables s’efforceront d’appliquer ‘le principe de précaution’ car ils seront avertis des méfaits de ce fléau. Le professeur Roger Santini avait beaucoup d’estime pour vous et il aurait été heureux de se joindre à moi pour vous souhaiter un énorme succès pour cette édition.”
    Sylvia Santini

    Quelques extraits... du chapitre 4

    Les jeunes sont, de loin, les plus exposés au téléphone portable. Tout le monde le sait. Tout le monde en craint les effets.

    Une étude a été réalisée avec des rats “adolescents” exposés à des téléphones portables. C’est le scientifique suédois Leif Salford qui en a eu l’idée : il voulait connaître les effets, sur les neurones des jeunes rats, d’une exposition de deux heures à des débits d’absorption spécifiques (DAS) dix à cent fois inférieurs au maximum autorisé pour les téléphones portables (0,2 et 0,02 watt par kilogramme dans l’expérience, contre 2 watts par kilogramme autorisés par les textes législatifs(6)). Les animaux n’ont été sacrifiés que cinquante jours après l’exposition.

    Résultat : les cerveaux des rats exposés avaient un nombre significativement accrude neurones endommagés, que le chercheur décrit ainsi : "rétrécis, de couleur foncée, dépourvus de structure cellulaire interne discernable. Certains de ces neurones assombris présentaient des microvacuoles [cavités], indiquant un processus pathologique actif. (...) Ces neurones endommagés étaient visibles dans tout le cerveau, mais surtout dans le cortex, l’hippocampe et les noyaux gris centraux. Ils étaient isolés ou groupés, enchevêtrés avec les neurones normaux. Le pourcentage de neurones anormaux culminait autour de 2%, sauf dans certaines zones restreintes où il dominait le tableau." (7)

    Le comportement des animaux a-t-il été affecté, après l’exposition, par la neurodégénérescence révélée par l’autopsie cinquante jours plus tard ? Pas le moins du monde ! Pourquoi ? À cause de la neuroplasticité. Lorsqu’un circuit neuronal est endommagé, un autre se met en place. Quand les symtômes de la maladie d’Alzheimer se manifestent, des zones entières sont déjà "hors service". Le cerveau a déjà épuisé toutes ses voies de recours. C’est la raison pour laquelle il est trop tard pour réagir.

    Alzheimer ou le cancer du cerveau
    pour tout le monde, dès 35 ans 


    Que conclut Leif Salford ? “Le cas du cerveau en développement mérite une attention spéciale de la part de la société, car les processus de maturation, en biologie, sont particulièrement vulnérables. (...) Il se peut que les dommages neuronaux observés n’aient aucune conséquence immédiatement démontrable, même s’ils surviennent de façon répétée. Cependant, à long terme, ils sont susceptibles d’induire une réduction de la capacité de réserve du cerveau pouvant se révéler sous la forme d’une autre maladie neurologique ultérieure ou accélérer la détérioration liée au vieillissement. Nous ne pouvons pas exclure qu’après quelques décennies d’usage quotidien, toute une génération d’utilisateurs subissede tels effets délétères dès l’âge mûr.”

    Alzheimer à 35 ans grâce au portable. Qui dit mieux ?”

    (6) Décret nº 2002-775 du 3 mai 2002 pris en application du 12º de l’article L.32 du code des postes et télécommunications et relatif aux valeurs limites d’exposition du public aux champs électromagnétiques émis par les équipements utilisés dans les réseaux de télécommunication ou par les installations radioélectriques. NOR : INDI0220135D, paru au Journal officiel nº 105 du dimanche 5 mai 2002, p. 8624-8627.

    (7) Salford LG, Brun AE, Eberhart JL, Malmgren L, Persson BR (2003) Nerve cell damage in mammalian brain after exposure to microwaves from GSM mobile phones. Environmental Health Perspectives Jun ; 111 (7) : 881-883 ; discussion A408.

    Livre audio Les jeunes et le portable : Alzheimer à 35 ans ? par Annie Lobé, journaliste scientifique.
    9,50 € TTC.
    Éditeur : SantéPublique éditions • 20, avenue de Stalingrad • 94260 Fresnes.


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  • Badigeonnez vous en toute connaissance de cause.

    Le déficit en vitamine « D » est source de nombreuses pathologies, et  l’exposition au soleil est garante de ce déficit, mais pas n’importe comment. Les « protecteurs » solaires empêchent les rayons UV de brûler la peau, mais ils empêchent aussi l’assimilation de la vitamine « D », avec les crèmes/huiles « écran total » .

    Quant à ce qu’il y a dans ces crèmes/huiles…restez informés...

    La meilleure forteresse des tyrans c’est l’inertie des peuples. Machiavel

    voir sur internet  une micro-photographie électronique d’une nanoparticule d’oxyde de zinc, fabriquée par le CNRS -oui oui le Centre National de la Recherche Scientifique, organisme public ! avec l’argent du contribuable donc- et revendue par conteneurs aux industriels privés qui fabriquent les cosmétiques, nanoparticule testée chaque été en toute quiétude, via la plupart des ambres solaires connues, et dans le dos des vacanciers, pour être finalement déversée dans tous les océans du monde, par millions de tonnes !!!

    Nanoparticules de dioxyde de titane et d’oxyde de zinc dans les produits cosmétiques ...


    infos : terre sacrée


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  •  Une augmentation de 30% de cancers chez les enfants

     
    – c'est le constat officiel. Corrélation : les enfants sont hyper vaccinés
     avec des soupes du diable dont la formule est « confidentielle » et pour cause. Voyez plutôt. On y trouve :

    ____________________________________________________________________________________________

    DU SULFATE D'AMMONIUM :
    Un poison suspecté d'attaquer le foie, le système nerveux, le système gastro-intestinal et respiratoire.

    DE LA BÊTA-PROPIOLACTONE :
    Produit connu pour ses propriétés cancérigènes. un poison suspecté d'attaquer le foie, le système respiratoire et gastro-intestinal ainsi que la peau et les organes des sens.

    DES LEVURES GÉNÉTIQUEMENT MODIFIÉES, DE l'ADN BACTÉRIEN OU VIRAL D'ANIMAUX :
    Substances qui peuvent s'incorporer dans l'ADN des vaccinés et entraîner des mutations génétiques inconnues.

    DU LATEX :
    Produit qui peut produire des réactions allergiques mettant en péril le pronostic vital.

    DU GLUTAMATE DE SODIUM ;
    Produit neurotoxique connu pour ses effets mutagènes, tératogènes entraînant des malformations et monstruosités - et ses effets sur la descendance. Responsable d'allergies.

    DE L'ALUMINIUM ( Adjuvant) :
    Produit responsable de dommages cérébraux, suspecté d'être la cause de la maladie d'Alzheimer, de certaines démences, de comas et d'attaques. Responsable également d'allergies cutanées. Impliqué dans la myofasciite à macrophages.

    DU FORMALDEHYDE ( formol) :
    Constituant principal des substances employées dans l'embaumement; poison lorsqu'il est ingéré; carcinogène, impliqué dans les leucémies, les cancers du cerveau, du colon, des organes lymphatiques; suspecté d'occasionner  des problèmes immunitaires, les système nerveux, les organes de reproduction. Utilisé pour inactiver les germes.

    DES MICROORGANISMES :

    Des virus ou des bactéries vivants ou tués ou leurs toxines. Le vaccin polio contenait du SV40, virus de singe retrouvé chez les humains dans les os, l'enveloppe des poumons – mésothélium, dans les lymphomes et tumeurs du cerveau.

    DU POLYSORBATE 80:
    Connu pour causer des cancers chez les animaux.

    DU TRI(N)BUTYLPHOSPHATE:
    Suspecté d'être un poison pour les reins et les nerfs.

    DU GLUTARALDEHYDE :
    Poison s'il est ingéré; responsable de malformation néonatales chez les animaux d'expérimentation.

    DE LA GÉLATINE:
    Produite à partir de certaines parties de la peau des veaux ainsi que des os de bovins déminéralisés et de peaux de porcs. Responsable d'allergies.

    DE LA GENTAMYCINE ET DE LA POLYMYXINE B (antibiotiques) :

    Toxine pour les reins et le système nerveux; responsable d'allergies pouvant être mortelles.

    DU MERCURE (conservateur) :
    Une substance des plus dangereuses, qui a une affinité pour le cerveau, le foie, l'intestin, la mœlle osseuse et les reins. D'infimes quantités peuvent causer des dommages graves au cerveau. Les symptômes de l'intoxication au mercure sont divers et certains sont superposables aux troubles et désordres autistiques.

    DE LA NEOMYCINE ( antibiotique ) :

    Substance qui perturbe l'absorption de la vitamine B6. Une erreur d'assimilation de la vitamine B6 peut entraîner une forme rare d'épilepsie et de retard mental. Réactions allergiques pouvant être mortelle. Toxique pour les reins et le système nerveux.

    DU PHENOL/PHENOXYETHANOL:
    Utilisé comme antigel. Toxique pour toutes les cellules et capable de dérégler les réponses du système immunitaire.

    DU BORATE DE SODIUM ( Borax ) :

    Utilisé comme insecticide et comme raticide - mort aux rats  (!) - et contenu dans le très à la mode GARDASIL.

    DES CELLULES HUMAINES ET ANIMALES :
    Des cellules humaines provenant de tissus de fœtus; de l'albumine humaine, du sang de porc, de cheval, de mouton: de la cervelle de lapin, de cobaye; des reins  de chien, du coeur de boeuf, des reins de singes, des embryons de poulets, des oeufs de poules ( pouvant être contaminés par le virus de la leucose aviaire c'est-à-dire la leucémie des poules...), des oeufs de canards, du sérum de veau (pouvant être porteur des prions de Kreutzfeld Jacob) etc...
    ( é p o u v a n t a b l e )

    Si les gens injectaient du raticide ou feraient boire de l'antigel à leurs enfants, ils seraient mis en examen pour mise en danger de la vie d'autrui et très probablement condamnés au pénal; alors que si c'est un médecine avec sa blouse blanche qui administre cela dans une seringues où ces sordides toxiques sont mélangés à d'autres dans un cocktail qu'on appelle « VACCIN », alors l'enfant n'est plus maltraité mais devient ... P R O T É G É !!!


    - Source : Le journal de Michel Dogna.

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